
Bonjour,
Draguer à la Fac.
QUI JE SUIS ET POURQUOI CET EBOOK
Ceux qui ont un grand frère me comprendront (ou un grand cousin, peu importe): on nous a tous raconté les mêmes histoires sur la fac, toujours ce même refrain « tu vas voir, quand tu seras à la fac, c’est mortel! Tu bosses pas trop et tu baises comme un porc! »
Je dois vous avouer que, franchement, je n’avais pas trop de mal avec les filles jusqu’à mon entrée dans l’enseignement supérieur. Comme l’ont dit certains sur FTS, j’étais « alpha sans le savoir ». Mais c’est une fois entouré de toutes ces poupounes que j’ai commencé à perdre les pédales; surtout avec des idées comme « tu dois baiser comme un porc puisqu’on te l’a dit! » en tête et toute la pression qu’elles incluent.
J’avais beau être capable de serrer de temps en temps, ce n’était clairement pas la fête à la saucisse que j’avais imaginée.
C’est à partir de là que je me suis tourné vers la communauté et ses grands classiques « The Game », la « Mystery Method ». Et c’est là que ça se gâte: après quelques mois d’essai, j’ai constaté que j’avais en fait régressé: non seulement je ne niquais pas plus de filles, mais celles que j’aurais pu niquer sans effort, je n’en étais plus capable. Tout ça parce que j’étais toujours à me demander où j’en étais dans mon « Game », ce que je devais faire ensuite, etc…
A côté de ça, les gens m’aimaient bien mais commençaient à me trouver chelou. Le Game m’a littéralement rendu moins séduisant.
Bon j’exagère un peu, il y a aussi du bon contenu là dedans qui permet de comprendre certains points des relations hommes/femmes, mais c’est le côté « faire réagir pour cocher les cases de mon plan » qui me gênait et m’a rendu ultra bizarre. C’est en me tournant vers d’autres méthodes que j’ai eu des résultats. Mais ces résultats, je les ai eus en boîte, en bar et dans la rue…Exactement ce que le Game vise.
Le pépin, c’est que je voulais aussi profiter de mon école et de l’immense réservoir à nanas que ça constituait. Merde quoi, l’État me fournit 300 nanas sur un plateau, et je devais draguer à l’extérieur pour y arriver. Au bout d’un moment, cet état de fait m’a juste paru très con.
J’avais vraiment l’impression de passer à côté de mes meilleures années.
Cependant, je dois dire que la beauté du système universitaire français m’a surement sauvé la vie… En effet, j’ai décidé d’aller étudier un an à l’étranger en Erasmus puisque je n’avais plus rien à perdre ici. J’étais déterminé à m’éclater un maximum sur place, et à défourailler comme un yéti.
Ne voulant pas réitérer les mêmes erreurs, je me suis forcé à ne pas gamer et à la place, observer comment faisaient les gars de là-bas pour chopper comme des porcs. A force, je me suis mis à les imiter, à copier leur façon de faire, et de façon assez rapide, je suis devenu un « frat boy », vous savez, le genre de mecs des fraternités ricaines, qui débarque à une soirée déjà beurré avec quinze potes dont cinq nanas, passe sa soirée à jouer au bière-pong et
Et ouais, avec de bons modèles, on apprend de bonnes choses !
Mais là où j’ai vraiment progressé, c’est quand j’ai commencé à comprendre ce qui, dans ce comportement faisait chopper. Et surtout quand, en conséquence, j’ai compris ce qui
attirait VRAIMENT les petites étudiantes et comment elles choisissaient avec qui elles couchent – par opposition aux « inconnues » des bars et des boîtes.
Mais bon ! Toutes les bonnes choses ont une fin, et me voilà de retour en France.
Au départ, j’ai un peu déprimé : j’avais l’impression de revenir en arrière, et j’avais peur de ne pas réussir à faire ce que je faisais là-bas ici. Et comme vous le devinez, je me plantais.
C’est ensuite que j’ai commencé à devenir actif dans la communauté. Pourquoi ? Parce que je connaissais des gens dedans, et je les voyais s’arracher les cheveux en s’auto-flagellant chaque soir sur leur « journal » parce qu’ils ne progressaient pas, ou parce qu’ils ne se sentaient toujours pas bien dans leurs pompes.
Le premier truc que j’ai fait a donc été de les sortir de la communauté, et leur expliquer ce que je savais. Évidemment, ça a aussi marché pour eux (what the hell, girls are girls). Et au bout d’un moment, ils m’ont dit que ce serait bien de partager ça avec plus de monde.
Bon au début, j’ai hésité, ne sachant pas trop comment je serais accueilli. Mais l’accueil sur FTS a été bon, et j’ai vu qu’il y avait des gens que ça intéressait.
Entre temps, j’ai aussi eu des news d’une pote vraiment très très bonne. Elle m’apprenait qu’un player que je connaissais (coach de premier plan d’ailleurs) lui avait sorti: « Je vais t’hypnotiser pour t’embrasser… »
Là, je me suis dit qu’il y avait urgence !
Lire la Suite...
Serge
Draguer à la Fac.
QUI JE SUIS ET POURQUOI CET EBOOK
Ceux qui ont un grand frère me comprendront (ou un grand cousin, peu importe): on nous a tous raconté les mêmes histoires sur la fac, toujours ce même refrain « tu vas voir, quand tu seras à la fac, c’est mortel! Tu bosses pas trop et tu baises comme un porc! »
Je dois vous avouer que, franchement, je n’avais pas trop de mal avec les filles jusqu’à mon entrée dans l’enseignement supérieur. Comme l’ont dit certains sur FTS, j’étais « alpha sans le savoir ». Mais c’est une fois entouré de toutes ces poupounes que j’ai commencé à perdre les pédales; surtout avec des idées comme « tu dois baiser comme un porc puisqu’on te l’a dit! » en tête et toute la pression qu’elles incluent.
J’avais beau être capable de serrer de temps en temps, ce n’était clairement pas la fête à la saucisse que j’avais imaginée.
C’est à partir de là que je me suis tourné vers la communauté et ses grands classiques « The Game », la « Mystery Method ». Et c’est là que ça se gâte: après quelques mois d’essai, j’ai constaté que j’avais en fait régressé: non seulement je ne niquais pas plus de filles, mais celles que j’aurais pu niquer sans effort, je n’en étais plus capable. Tout ça parce que j’étais toujours à me demander où j’en étais dans mon « Game », ce que je devais faire ensuite, etc…
A côté de ça, les gens m’aimaient bien mais commençaient à me trouver chelou. Le Game m’a littéralement rendu moins séduisant.
Bon j’exagère un peu, il y a aussi du bon contenu là dedans qui permet de comprendre certains points des relations hommes/femmes, mais c’est le côté « faire réagir pour cocher les cases de mon plan » qui me gênait et m’a rendu ultra bizarre. C’est en me tournant vers d’autres méthodes que j’ai eu des résultats. Mais ces résultats, je les ai eus en boîte, en bar et dans la rue…Exactement ce que le Game vise.
Le pépin, c’est que je voulais aussi profiter de mon école et de l’immense réservoir à nanas que ça constituait. Merde quoi, l’État me fournit 300 nanas sur un plateau, et je devais draguer à l’extérieur pour y arriver. Au bout d’un moment, cet état de fait m’a juste paru très con.
J’avais vraiment l’impression de passer à côté de mes meilleures années.
Cependant, je dois dire que la beauté du système universitaire français m’a surement sauvé la vie… En effet, j’ai décidé d’aller étudier un an à l’étranger en Erasmus puisque je n’avais plus rien à perdre ici. J’étais déterminé à m’éclater un maximum sur place, et à défourailler comme un yéti.
Ne voulant pas réitérer les mêmes erreurs, je me suis forcé à ne pas gamer et à la place, observer comment faisaient les gars de là-bas pour chopper comme des porcs. A force, je me suis mis à les imiter, à copier leur façon de faire, et de façon assez rapide, je suis devenu un « frat boy », vous savez, le genre de mecs des fraternités ricaines, qui débarque à une soirée déjà beurré avec quinze potes dont cinq nanas, passe sa soirée à jouer au bière-pong et
- casser des trucs pour ensuite s’écrouler ivre mort, le nez entre les jambes d’une nana au premier étage.
Et ouais, avec de bons modèles, on apprend de bonnes choses !
Mais là où j’ai vraiment progressé, c’est quand j’ai commencé à comprendre ce qui, dans ce comportement faisait chopper. Et surtout quand, en conséquence, j’ai compris ce qui
attirait VRAIMENT les petites étudiantes et comment elles choisissaient avec qui elles couchent – par opposition aux « inconnues » des bars et des boîtes.
Mais bon ! Toutes les bonnes choses ont une fin, et me voilà de retour en France.
Au départ, j’ai un peu déprimé : j’avais l’impression de revenir en arrière, et j’avais peur de ne pas réussir à faire ce que je faisais là-bas ici. Et comme vous le devinez, je me plantais.
C’est ensuite que j’ai commencé à devenir actif dans la communauté. Pourquoi ? Parce que je connaissais des gens dedans, et je les voyais s’arracher les cheveux en s’auto-flagellant chaque soir sur leur « journal » parce qu’ils ne progressaient pas, ou parce qu’ils ne se sentaient toujours pas bien dans leurs pompes.
Le premier truc que j’ai fait a donc été de les sortir de la communauté, et leur expliquer ce que je savais. Évidemment, ça a aussi marché pour eux (what the hell, girls are girls). Et au bout d’un moment, ils m’ont dit que ce serait bien de partager ça avec plus de monde.
Bon au début, j’ai hésité, ne sachant pas trop comment je serais accueilli. Mais l’accueil sur FTS a été bon, et j’ai vu qu’il y avait des gens que ça intéressait.
Entre temps, j’ai aussi eu des news d’une pote vraiment très très bonne. Elle m’apprenait qu’un player que je connaissais (coach de premier plan d’ailleurs) lui avait sorti: « Je vais t’hypnotiser pour t’embrasser… »
Là, je me suis dit qu’il y avait urgence !
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Serge