Alphonse Allais
Alphonse Allais, né le 20 octobre 1854 à Honfleur et mort le 28 octobre 1905 à Paris, est un journaliste, écrivain et humoriste français.
Célèbre à la Belle Époque, reconnu pour sa plume acerbe et son humour absurde, il est notamment renommé pour ses calembours et ses vers holorimes. Il est parfois considéré comme l'un des plus grands conteurs de langue française.
Biographie
Alphonse Allais est le cadet d'une fratrie de cinq enfants, de Charles Auguste Allais (1825-1895), pharmacien, place de la Grande-Fontaine de Honfleur (aujourd'hui place Hamelin3) et d'Alphonsine Vivien (1830-19274).
Jusqu'à l'âge de trois ans, il ne prononce pas un mot, sa famille le croyait muet5. À l'école, il semble plutôt se destiner à une carrière scientifique : il passe à seize ans son baccalauréat en sciences. Recalé à cause des oraux d'histoire et de géographie, il est finalement reçu l'année suivante. Il devient alors stagiaire dans la pharmacie de son père qui ambitionne pour lui une succession tranquille, mais qui goûte peu ses expériences et ses faux médicaments et l'envoie étudier à Paris. En fait d'études, Alphonse préfère passer son temps aux terrasses des cafés ou dans le jardin du Luxembourg, et ne se présente pas à l'un des examens de l'école de pharmacie. Son père, s'apercevant que les fréquentations extra-estudiantines de son fils ont pris le pas sur ses études, décide de lui couper les vivres.
Pour subsister, Alphonse Allais s'essaye d'abord à la photographie, sur les traces de son ami Charles Cros, mais ne connaît pas le succès. Il décide alors de s'essayer au métier de journaliste, publiant des chroniques loufoques dans diverses revues parisiennes. Avec ses amis du Quartier latin, il fait aussi partie de plusieurs groupes fantaisistes comme « les Fumistes », « les Hydropathes » ou « les Hirsutes ».
En 1881, après avoir terminé sans succès ses études de pharmacie8, il devient collaborateur du journal Le Chat noir, dans lequel il signe pour la première fois en 1883. C'est grâce à ses écrits humoristiques et à ses nouvelles, écrites au jour le jour, qu'il connaît le succès. Il collabore à l'hebdomadaire Le Chat Noir à partir du numéro 4, daté du 4 février 1882, (Feu de paille). En 1885, il fréquente le café-restaurant Au Tambourin au 62, boulevard de Clichy…
Célèbre à la Belle Époque, reconnu pour sa plume acerbe et son humour absurde, il est notamment renommé pour ses calembours et ses vers holorimes. Il est parfois considéré comme l'un des plus grands conteurs de langue française.
Biographie
Alphonse Allais est le cadet d'une fratrie de cinq enfants, de Charles Auguste Allais (1825-1895), pharmacien, place de la Grande-Fontaine de Honfleur (aujourd'hui place Hamelin3) et d'Alphonsine Vivien (1830-19274).
Jusqu'à l'âge de trois ans, il ne prononce pas un mot, sa famille le croyait muet5. À l'école, il semble plutôt se destiner à une carrière scientifique : il passe à seize ans son baccalauréat en sciences. Recalé à cause des oraux d'histoire et de géographie, il est finalement reçu l'année suivante. Il devient alors stagiaire dans la pharmacie de son père qui ambitionne pour lui une succession tranquille, mais qui goûte peu ses expériences et ses faux médicaments et l'envoie étudier à Paris. En fait d'études, Alphonse préfère passer son temps aux terrasses des cafés ou dans le jardin du Luxembourg, et ne se présente pas à l'un des examens de l'école de pharmacie. Son père, s'apercevant que les fréquentations extra-estudiantines de son fils ont pris le pas sur ses études, décide de lui couper les vivres.
Pour subsister, Alphonse Allais s'essaye d'abord à la photographie, sur les traces de son ami Charles Cros, mais ne connaît pas le succès. Il décide alors de s'essayer au métier de journaliste, publiant des chroniques loufoques dans diverses revues parisiennes. Avec ses amis du Quartier latin, il fait aussi partie de plusieurs groupes fantaisistes comme « les Fumistes », « les Hydropathes » ou « les Hirsutes ».
En 1881, après avoir terminé sans succès ses études de pharmacie8, il devient collaborateur du journal Le Chat noir, dans lequel il signe pour la première fois en 1883. C'est grâce à ses écrits humoristiques et à ses nouvelles, écrites au jour le jour, qu'il connaît le succès. Il collabore à l'hebdomadaire Le Chat Noir à partir du numéro 4, daté du 4 février 1882, (Feu de paille). En 1885, il fréquente le café-restaurant Au Tambourin au 62, boulevard de Clichy…
- À la Une ! un Choix de 43 Contes, d’Alphonse Allais2.00 €
- À l’Œil d’Alphonse Allais2.00 €
- Alphonse Allais. À se Tordre. Histoires Chatnoiresques2.00 €
- Amours, délices et orgues, d’Alphonse Allais2.00 €
- Deux et deux font cinq (2 + 2 = 5), d’Alphonse Allais2.00 €
- En Ribouldinguant d'Alphonse Allais2.00 €
- Faits Divers, Choix de contes d’Alphonse Allais.2.00 €
- L’affaire Blaireau, un Roman d’Alphonse Allais2.00 €
- L’Arroseur, d’Alphonse Allais2.00 €
- Le bec en l'air, Œuvres anthumes, d’Alphonse Allais2.00 €
- Le boomerang, un Roman d’Alphonse Allais2.00 €
- Le parapluie de l’escouade (Œuvres anthumes), d’Alphonse Allais2.00 €
- Ne nous Frappons pas, un Roman d’Alphonse Allais2.00 €
- On n'est pas des bœufs, nouvelle humoristique d’Alphonse Allais2.00 €
- Pas de Bile ! d’Alphonse Allais2.00 €