Michel Batifoler
Michel Batifoler est un poète français contemporain dont l'œuvre s’inscrit dans une tradition de lyrisme discret, d’observation sensible du monde et d’introspection mesurée. Peu médiatisé, mais estimé dans certains cercles littéraires pour la justesse de sa plume, Batifoler cultive une poésie de la nuance et du souvenir, où les émotions s’entrelacent avec les images du quotidien, souvent imprégnées de mélancolie, de réminiscences et de lumière tamisée.
Né dans la seconde moitié du XXe siècle, Batifoler grandit dans un environnement propice à la réflexion et à la lecture. Passionné très tôt par les lettres, il se tourne vers l’écriture comme un moyen d'explorer les liens invisibles entre passé et présent, mémoire et oubli, absence et présence. Il ne cherche ni la provocation, ni l’expérimentation radicale : sa poésie, fluide et accessible, s’ancre dans la tradition française d’une poésie intimiste, à l’instar de Paul Éluard ou Philippe Jaccottet, qu’il cite volontiers comme influences.
Son recueil Passés passagers est emblématique de cette approche. Composé de poèmes brefs, élégants et évocateurs, il navigue entre souvenirs personnels et sensations fugaces, entre silences et élans, entre le poids de ce qui fut et l’évanescence de ce qui ne sera plus. Les mots y prennent le temps de s’installer, de résonner doucement, loin de toute grandiloquence.
Batifoler publie peu, préférant la qualité à la quantité, et reste fidèle à une éthique de l’ombre : écrire sans tapage, pour ceux qui prennent le temps de lire lentement. Son œuvre, souvent diffusée dans des revues littéraires ou par des éditeurs indépendants, témoigne d’une fidélité aux vertus fondamentales de la poésie : la pudeur, la vérité intime, et le regard tourné vers l’essentiel.
Conclusion :
Michel Batifoler est un poète de l’épure, de la mémoire et de l’instant fragile. À travers des recueils comme Passés passagers, il offre une œuvre discrète mais précieuse, qui touche par sa sincérité et sa maîtrise du murmure poétique. Loin du bruit contemporain, il trace un chemin littéraire singulier, à la fois intime et universel, où chaque vers devient un souffle, un écho du passé qui résonne dans le présent. Son écriture rappelle que la poésie n’a pas besoin de fracas pour toucher, mais seulement d’un regard juste et d’un cœur ouvert.
Né dans la seconde moitié du XXe siècle, Batifoler grandit dans un environnement propice à la réflexion et à la lecture. Passionné très tôt par les lettres, il se tourne vers l’écriture comme un moyen d'explorer les liens invisibles entre passé et présent, mémoire et oubli, absence et présence. Il ne cherche ni la provocation, ni l’expérimentation radicale : sa poésie, fluide et accessible, s’ancre dans la tradition française d’une poésie intimiste, à l’instar de Paul Éluard ou Philippe Jaccottet, qu’il cite volontiers comme influences.
Son recueil Passés passagers est emblématique de cette approche. Composé de poèmes brefs, élégants et évocateurs, il navigue entre souvenirs personnels et sensations fugaces, entre silences et élans, entre le poids de ce qui fut et l’évanescence de ce qui ne sera plus. Les mots y prennent le temps de s’installer, de résonner doucement, loin de toute grandiloquence.
Batifoler publie peu, préférant la qualité à la quantité, et reste fidèle à une éthique de l’ombre : écrire sans tapage, pour ceux qui prennent le temps de lire lentement. Son œuvre, souvent diffusée dans des revues littéraires ou par des éditeurs indépendants, témoigne d’une fidélité aux vertus fondamentales de la poésie : la pudeur, la vérité intime, et le regard tourné vers l’essentiel.
Conclusion :
Michel Batifoler est un poète de l’épure, de la mémoire et de l’instant fragile. À travers des recueils comme Passés passagers, il offre une œuvre discrète mais précieuse, qui touche par sa sincérité et sa maîtrise du murmure poétique. Loin du bruit contemporain, il trace un chemin littéraire singulier, à la fois intime et universel, où chaque vers devient un souffle, un écho du passé qui résonne dans le présent. Son écriture rappelle que la poésie n’a pas besoin de fracas pour toucher, mais seulement d’un regard juste et d’un cœur ouvert.
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