
Bonjour,
Format : PDF – EPUB - KPF
C'était écrit ! un Roman de Wilkie Collins
Résumé :
Publié en 1870 sous le titre original Man and Wife, C'était écrit ! est un roman qui mêle intrigue judiciaire, critique sociale et drame psychologique. Fidèle à son style, Wilkie Collins y dénonce les absurdités du droit matrimonial britannique et écossais, tout en construisant une histoire haletante autour de l’injustice et de la manipulation.
1. Un mariage aux conséquences imprévues
L’histoire commence en Écosse, où Anne Silvester, une jeune gouvernante respectable, entretient une relation secrète avec Geoffrey Delamayn, un athlète égoïste et irresponsable. Un malentendu conduit Anne à croire qu’ils sont légalement mariés selon une particularité du droit écossais, qui reconnaît certaines unions contractées oralement et publiquement.
Mais Geoffrey, qui ne veut pas s’engager, l’abandonne et se tourne vers une autre femme, laissant Anne dans une situation précaire. Désespérée, elle cherche de l’aide auprès de son amie Blanche Lundie, une jeune héritière fiancée à Arnold Brinkworth, un homme honnête mais naïf.
2. Manipulations et injustices juridiques
Arnold, dans un élan de bonté, accepte de jouer le rôle d’intermédiaire entre Anne et Geoffrey. Malheureusement, ce simple acte est interprété par la loi écossaise comme une preuve de mariage entre Arnold et Anne. Blanche se retrouve donc dans une situation inextricable : son fiancé est légalement considéré comme l’époux d’une autre femme.
Geoffrey, quant à lui, profite des failles du système juridique pour échapper à ses responsabilités, soutenu par l’avocat rusé Sir Patrick Lundie, l’oncle de Blanche. Pendant ce temps, Anne, brisée et humiliée, tente de se battre pour rétablir la vérité, mais elle est prise dans un engrenage implacable de conventions sociales et de machinations.
3. Le drame final et la résolution
Alors que les tensions atteignent leur paroxysme, Geoffrey complote pour se débarrasser définitivement d’Anne en la poussant à l’extrême. Cependant, sa cruauté finit par se retourner contre lui. Lors d’un événement sportif, il est victime d’une crise cardiaque fatale, précipitant ainsi le dénouement.
Anne, bien que marquée par les épreuves, retrouve une certaine dignité. Arnold et Blanche peuvent enfin voir leur amour reconnu légalement, et Sir Patrick, avec son intelligence et sa ténacité, contribue à clarifier la situation juridique absurde dans laquelle ils étaient plongés.
Conclusion :
C'était écrit ! est un roman engagé qui critique les incohérences et l’injustice des lois matrimoniales de l’époque. À travers le destin d’Anne Silvester, Wilkie Collins met en lumière la vulnérabilité des femmes face à un système juridique qui ne les protège pas et les enferme dans des conventions rigides.
L’intrigue repose sur une tension constante, portée par des personnages complexes et une narration habilement construite. La fatalité, symbolisée par le titre, souligne le poids du destin et des règles sociales sur les individus.
Avec ce roman, Collins ne se contente pas de raconter une histoire captivante ; il offre aussi une réflexion percutante sur le mariage, la responsabilité et la condition féminine au XIXe siècle. C'était écrit ! s’inscrit ainsi parmi ses œuvres les plus marquantes, alliant suspense et critique sociale avec brio.
Le plaisir de lire avec La Petite Librairie
Serge
Format : PDF – EPUB - KPF
C'était écrit ! un Roman de Wilkie Collins
Résumé :
Publié en 1870 sous le titre original Man and Wife, C'était écrit ! est un roman qui mêle intrigue judiciaire, critique sociale et drame psychologique. Fidèle à son style, Wilkie Collins y dénonce les absurdités du droit matrimonial britannique et écossais, tout en construisant une histoire haletante autour de l’injustice et de la manipulation.
1. Un mariage aux conséquences imprévues
L’histoire commence en Écosse, où Anne Silvester, une jeune gouvernante respectable, entretient une relation secrète avec Geoffrey Delamayn, un athlète égoïste et irresponsable. Un malentendu conduit Anne à croire qu’ils sont légalement mariés selon une particularité du droit écossais, qui reconnaît certaines unions contractées oralement et publiquement.
Mais Geoffrey, qui ne veut pas s’engager, l’abandonne et se tourne vers une autre femme, laissant Anne dans une situation précaire. Désespérée, elle cherche de l’aide auprès de son amie Blanche Lundie, une jeune héritière fiancée à Arnold Brinkworth, un homme honnête mais naïf.
2. Manipulations et injustices juridiques
Arnold, dans un élan de bonté, accepte de jouer le rôle d’intermédiaire entre Anne et Geoffrey. Malheureusement, ce simple acte est interprété par la loi écossaise comme une preuve de mariage entre Arnold et Anne. Blanche se retrouve donc dans une situation inextricable : son fiancé est légalement considéré comme l’époux d’une autre femme.
Geoffrey, quant à lui, profite des failles du système juridique pour échapper à ses responsabilités, soutenu par l’avocat rusé Sir Patrick Lundie, l’oncle de Blanche. Pendant ce temps, Anne, brisée et humiliée, tente de se battre pour rétablir la vérité, mais elle est prise dans un engrenage implacable de conventions sociales et de machinations.
3. Le drame final et la résolution
Alors que les tensions atteignent leur paroxysme, Geoffrey complote pour se débarrasser définitivement d’Anne en la poussant à l’extrême. Cependant, sa cruauté finit par se retourner contre lui. Lors d’un événement sportif, il est victime d’une crise cardiaque fatale, précipitant ainsi le dénouement.
Anne, bien que marquée par les épreuves, retrouve une certaine dignité. Arnold et Blanche peuvent enfin voir leur amour reconnu légalement, et Sir Patrick, avec son intelligence et sa ténacité, contribue à clarifier la situation juridique absurde dans laquelle ils étaient plongés.
Conclusion :
C'était écrit ! est un roman engagé qui critique les incohérences et l’injustice des lois matrimoniales de l’époque. À travers le destin d’Anne Silvester, Wilkie Collins met en lumière la vulnérabilité des femmes face à un système juridique qui ne les protège pas et les enferme dans des conventions rigides.
L’intrigue repose sur une tension constante, portée par des personnages complexes et une narration habilement construite. La fatalité, symbolisée par le titre, souligne le poids du destin et des règles sociales sur les individus.
Avec ce roman, Collins ne se contente pas de raconter une histoire captivante ; il offre aussi une réflexion percutante sur le mariage, la responsabilité et la condition féminine au XIXe siècle. C'était écrit ! s’inscrit ainsi parmi ses œuvres les plus marquantes, alliant suspense et critique sociale avec brio.
Le plaisir de lire avec La Petite Librairie
Serge