Bonjour,
Format : PDF – EPUB - KPF
La garçonne, un Roman de mœurs de Victor Margueritte
Résumé :
Publié en 1922, La Garçonne est un roman de mœurs qui fit scandale à sa sortie. Il raconte l’histoire de Monique Lerbier, une jeune femme de la bourgeoisie qui, après une déception amoureuse et un rejet des conventions sociales, choisit de mener une vie libre et indépendante, en rupture avec les normes patriarcales de son époque.
Une éducation bourgeoise et une trahison amoureuse
Monique Lerbier est issue d’une famille bourgeoise aux valeurs rigides. Promise à un avenir tout tracé, elle est sur le point d’épouser un homme choisi par ses parents. Cependant, elle découvre que son fiancé la trompe. Cette révélation la choque profondément et ébranle sa confiance dans les principes moraux et sociaux qui lui ont été inculqués.
Face à l’hypocrisie de son milieu, Monique refuse de se plier aux attentes et rejette le mariage arrangé. En rupture avec sa famille, elle décide de prendre son destin en main et s’émancipe totalement.
Une vie de plaisirs et d’excès
Désormais libre, Monique se plonge dans le monde de la bohème parisienne et des plaisirs mondains. Elle découvre la vie nocturne, les amours éphémères et les expériences sensuelles, fréquentant artistes, intellectuels et aventuriers.
Elle adopte un mode de vie qualifié de « garçonne », terme désignant une femme moderne, qui refuse les rôles traditionnels féminins et aspire à l’indépendance, notamment en s’habillant à la manière des hommes et en travaillant pour subvenir à ses besoins. Elle expérimente la liberté sexuelle, y compris des relations homosexuelles, ce qui était audacieux pour l’époque.
Mais cette quête effrénée du plaisir a ses revers. Monique traverse des moments de vide et de désillusion, découvrant que cette liberté tant recherchée peut aussi mener à la solitude et à la superficialité.
La prise de conscience et la reconstruction
Après des expériences marquées par le désenchantement et l’errance, Monique prend conscience que l’excès et la fuite ne sont pas synonymes de bonheur. Elle décide alors de se reconstruire sur des bases plus saines, en s’émancipant non plus seulement dans la révolte, mais aussi dans l’accomplissement personnel.
Elle trouve un équilibre en s’engageant dans une activité professionnelle qui lui apporte une satisfaction plus profonde et en cultivant des relations plus authentiques. Sans renier son parcours, elle comprend que l’indépendance véritable ne se limite pas à la transgression des normes, mais repose sur une liberté intérieure et une harmonie entre désir et responsabilité.
Conclusion :
La Garçonne est un roman emblématique de l’émancipation féminine et du bouleversement des mœurs dans l’entre-deux-guerres. Victor Margueritte y dresse le portrait d’une femme moderne qui refuse les carcans de son époque et cherche sa propre voie, quitte à en payer le prix.
Le roman fut à la fois célébré et vivement critiqué, notamment parce qu’il remettait en cause le modèle de la femme soumise au mariage et à la morale bourgeoise. Monique Lerbier incarne un féminisme avant l’heure, illustrant les questionnements sur la liberté, l’amour et l’identité. Son parcours, entre excès et quête d’équilibre, nous interroge toujours sur les limites et les défis de l’émancipation individuelle.
Le plaisir de lire avec La Petite Librairie
Serge
Format : PDF – EPUB - KPF
La garçonne, un Roman de mœurs de Victor Margueritte
Résumé :
Publié en 1922, La Garçonne est un roman de mœurs qui fit scandale à sa sortie. Il raconte l’histoire de Monique Lerbier, une jeune femme de la bourgeoisie qui, après une déception amoureuse et un rejet des conventions sociales, choisit de mener une vie libre et indépendante, en rupture avec les normes patriarcales de son époque.
Une éducation bourgeoise et une trahison amoureuse
Monique Lerbier est issue d’une famille bourgeoise aux valeurs rigides. Promise à un avenir tout tracé, elle est sur le point d’épouser un homme choisi par ses parents. Cependant, elle découvre que son fiancé la trompe. Cette révélation la choque profondément et ébranle sa confiance dans les principes moraux et sociaux qui lui ont été inculqués.
Face à l’hypocrisie de son milieu, Monique refuse de se plier aux attentes et rejette le mariage arrangé. En rupture avec sa famille, elle décide de prendre son destin en main et s’émancipe totalement.
Une vie de plaisirs et d’excès
Désormais libre, Monique se plonge dans le monde de la bohème parisienne et des plaisirs mondains. Elle découvre la vie nocturne, les amours éphémères et les expériences sensuelles, fréquentant artistes, intellectuels et aventuriers.
Elle adopte un mode de vie qualifié de « garçonne », terme désignant une femme moderne, qui refuse les rôles traditionnels féminins et aspire à l’indépendance, notamment en s’habillant à la manière des hommes et en travaillant pour subvenir à ses besoins. Elle expérimente la liberté sexuelle, y compris des relations homosexuelles, ce qui était audacieux pour l’époque.
Mais cette quête effrénée du plaisir a ses revers. Monique traverse des moments de vide et de désillusion, découvrant que cette liberté tant recherchée peut aussi mener à la solitude et à la superficialité.
La prise de conscience et la reconstruction
Après des expériences marquées par le désenchantement et l’errance, Monique prend conscience que l’excès et la fuite ne sont pas synonymes de bonheur. Elle décide alors de se reconstruire sur des bases plus saines, en s’émancipant non plus seulement dans la révolte, mais aussi dans l’accomplissement personnel.
Elle trouve un équilibre en s’engageant dans une activité professionnelle qui lui apporte une satisfaction plus profonde et en cultivant des relations plus authentiques. Sans renier son parcours, elle comprend que l’indépendance véritable ne se limite pas à la transgression des normes, mais repose sur une liberté intérieure et une harmonie entre désir et responsabilité.
Conclusion :
La Garçonne est un roman emblématique de l’émancipation féminine et du bouleversement des mœurs dans l’entre-deux-guerres. Victor Margueritte y dresse le portrait d’une femme moderne qui refuse les carcans de son époque et cherche sa propre voie, quitte à en payer le prix.
Le roman fut à la fois célébré et vivement critiqué, notamment parce qu’il remettait en cause le modèle de la femme soumise au mariage et à la morale bourgeoise. Monique Lerbier incarne un féminisme avant l’heure, illustrant les questionnements sur la liberté, l’amour et l’identité. Son parcours, entre excès et quête d’équilibre, nous interroge toujours sur les limites et les défis de l’émancipation individuelle.
Le plaisir de lire avec La Petite Librairie
Serge